Une Grosse Nouille Nommee Benoit Ep 05 : Ça Va Pas Etre Facile
UNE GROSSE NOUILLE NOMMEE BENOIT EP 05 : ÇA VA PAS ETRE FACILE
Heureusement Étienne avait une grosse voiture, genre 4X4. Ce qui est bien avec ce genre de voiture c'est qu'il y a de la place et avec tout ce que j'avais acheté, c'était pas inutile ! Il fronçait les sourcils
Sans doutes impressionné par mes achats, j'avais tout pris en triple
Bon ça faisait du volume mais
Mais c'est vrai ça aussi ! J'avais craqué quand je me suis vu dans le miroir
J'étais trop mignon avec ce pantalon plein de poches un peu partout, ces chaussures de marche, cette chemise avec des poches aussi, je ressemblais à Un ce ces aventuriers qu'on voit au cinéma qui part à la recherche d'un temple maudit
Ou un truc comme ça ! Je vous jure devant mon miroir je me trouvais trop mignon, trop attirant
C'est sûr je vais avoir un succès fou moi ! Tient la prochaine fois, je vais en boite comme ça !
C'est dans cette tenue que je descendais à table
Les filles me regardaient arriver d'un air médusé
Nadine : Allons bon ! Le voilà qui se prend pour Indiana Jones maintenant !
Étienne : Vous auriez vu les filles, au magasin c'était quelque chose.
Hélène : On a vu les sacs, mais je te rassures c'est tout à fait normal
Moi : Mais au fait, il y a un truc que je ne comprends pas moi !
Toi Étienne et toi Hélène vous n'habitez pas ici d'habitude ?
Étienne : Exact !
Moi : Mais je vous vois tout le temps depuis que je suis là !
Nadine : C'est parce qu'on va partir en vacances ensemble, et on prépare notre départ
Moi : Et vous partez quand ?
Nadine : Pourquoi tu dis '' vous '' tu devrais dire '' nous '', je te rappelle que tu pars avec nous
C'est pour ça que tu as fait des courses ce matin !
Dans ma tête je me disais '' Mais pourquoi je me suis porté volontaire, il y a un truc que j'ai pas du comprendre moi ! Bon demain matin je me fais une crise de myxomatose.
Moi : Et on part quand ?
Donc !
Étienne : Demain matin ! On prend ma voiture il y a de la place pour les bagages. Et comme c'est une 4X4 on peut aller jusqu'au lac. Avec une voiture normale on ne peut pas !
Moi : Bien je prépare mon bagage dès ce soir
Hélène : Attention ! Un sac à dos ! Uniquement !
Moi : Mais enfin tu me prends pour quoi
Je sais ce que c'est que de partir faire du camping !
Nadine : Ça c'est pas vrai !
Étienne : J'ai fait la liste de ce qu'il faut emporter !
Moi : Mais j'ai tout prévu, j'ai demandé à Laurent de me préparer un lot complet du petit nécessaire de camping ! Il est vraiment serviable quand même ce Laurent !
Nadine : Et c'est qui Laurent !
Étienne : C'est le vendeur au magasin, ils se sont même fait la bise quand on est parti
J'arrivais pas à y croire !
Nadine : Ne t'inquiète pas, mon petit frère est un rapide !
Étienne regardait ma sur avec les yeux tout ronds.
Étienne : Non ne me dis pas que
Nadine : Probablement si !
Je préparait ensuite mes bagages, je parvenais non sans mal à faire tenir le stricte nécessaire dans seulement quatre sac à dos
Ouai ! J'en avais pris quatre discrètement, je suis un petit malin moi ! J'avais tout prévu !
Plus tard dans la journée j'emmenais un sac à dos dans l'entrée de la maison. Nadine me félicitait de mon organisation
Comme tout s'était bien passé, très discrètement ce coup ci, je rapportais un second sac
Personne ne remarquait rien je ramenais le troisième
Puis
Nadine : Benoît tu peux venir ici tout de suite espèce de crétin demeuré ! ( en gueulant )
Oups, ça c'est pas un compliment
J'arrivais dans l'entrée en traînant les pieds. Tout le monde était déjà là.
Nadine : Ces trois sacs ne sont à aucun d'entre nous !
Moi : J'en ai juste un tout petit dernier quatrième
C'est tout !
Nadine : Mais tu te moques de nous ! Et tu vas faire comment pour les porter tous les quatre, tu te débrouilles
Et elle continuait encore comme ça pendant un bon moment
Je faisait semblant de me sentir mal
Étienne : Il a pas l'air bien ! Ça va pas Benoît ?
Moi : Non je me sens bizarre, j'ai l'impression que ma tête à gonflé, et je vois tout flou !
Nadine : Mon pauvre, tu es malade ? Tu as de la fièvre ?
Moi : Oui je suis malade, je ne vais pas pouvoir vous accompagner !
Hélène : Ça va on a compris, tu ne veux pas venir
Moi : Si je veux venir, je veux venir, je veux venir
Hélène : Si tu ne veux pas venir, tu peux le dire
Moi : Non, non, c'est pas ça
Je suis malade, je voudrais bien vous suivre mais je ne vais pas pouvoir
Ils me regardaient sans trop y croire
Enfin Étienne, lui, peut être qu'il y croyait un peu
Moi : Mais ne vous inquiétez pas je sais ce que j'ai.
Ils éclataient de rire. Je les regardait sans comprendre.
Nadine : C'est vrai que tu es un chaud lapin toi !
Moi : Je ne vois pas le rapport ! ( l'air presque indigné )
Hélène : C'est une maladie que seuls les lapins peuvent attr !
Étienne continuait à rigoler, bon là il se moquait !
Moi : Peuhhh ! Tu dis ça pour m'embêter
Comme je ne voulais pas renoncer, j'étais obliger de refaire mon sac. Mais comment je vais faire pour survivre avec seulement deux pantalons moi, je retirais même le peignoir
Ça va pas être facile
J'aime bien l'aventure et la vie rustique mais pas à ce point !
J'allais me coucher tôt, il fallait être en forme pour le lendemain, on partait au lever du soleil. J'avais du mal à m'endormir, le lendemain on partait à l'aventure dans un endroit sauvage, perdu, loin de tout. La 4G ne passe pas ni même la 1G
On a le téléphone mais rien de plus
Il y a des bêtes sauvages, et c'est certainement un endroit très dangereux, surtout pour un petit citadin comme moi ! Je finissais par m'endormir.
Le lendemain nous prenions la route, les filles n'avaient pas pu venir elles nous rejoindraient
Hélène devait aller travailler au garage, un autobus était tombé en panne et tous les passagers attendaient qu'elle vienne réparer. Nadine préparait les repas pour tout ce monde ainsi que pour l'équipe de rugbymen qui faisait de l'auto-stop
On roulait bien la route était belle, on prenait d'abord l'autoroute. Étienne conduisait pendant toute la journée, il ne fatiguait pas. Il était beau dans le soleil couchant, au volant de son énorme véhicule. Il avait les bras nus, je ne pouvais pas détacher mes yeux de son torse, de son visage, de ses bras musclés. C'est un poste confortable quand on est passager à côté d'un chauffeur aussi beau.
Il avait remonté ses manches, et cette superbe chemise à carreaux de grande marque le mettait très en valeur. J'avais déjà remarqué ces détails dans la piscine, ses bras n'étaient pas très poilu, juste ce qu'il faut, et sur son torse c'était pareil. Ses jambes étaient plus poilues, et musclées aussi
Je les avais aussi repérées dans la piscine
A peine arrivés on montait la tende, c'était une grande tente quatre chambres, une entrée un salon qui donnait directement sur le lac. La cabane dont il nous avait parlé n'était rien d'autre que quelques planches qui tenaient par miracle et je préférais ne pas pas m'en approcher.
Il y avait encore quelques rayons de soleil quand nous terminions de nous installer. Il me proposait de faire un plongeon dans le lac et me garantissait qu'il n'y avait pas de crocrodiles (!)
Sans attendre ma réponse il retirait ses vêtements. Sa chemise tombait, il la retirait avec les gestes d'un sportif culturiste qui pause pour une photo, il exhibait ses muscle, il ne me regardait pas, je bavais sans rien dire
Après les chaussures suivaient les chaussettes, il se plaçait alors devant moi, il me tournait le dos il ouvrait son pantalon et sans plus de manières le baissait, je voyais ses fesses, musclées comme le reste du bonhomme, moyennement poilues, il se penchait vers l'avant et dégageait ses jambes de son pantalon, il était nu
J'avais déjà la langue qui pendait, maintenant elle traînait par terre
Je ne vous dis pas. Il était canon le mec ! J'en connais une qui a de la chance
Mais comment je vais faire moi pour me retenir. Je vais devenir dingue. Je vais le demander en mariage avant la fin de la semaine moi ! Et si 'il refuse ? Bon, si il refuse je me suicide en me noyant dans le lac. Il ne faudrait pas que l'eau soit trop froide, sinon je devrai trouver autre chose
Je suis comme ça moi
Je veux bien me suicider mais c'est pas une raison pour prendre froid !
Il se retournait vers moi et me lançait un sourire d'invitation, je pouvais enfin le voir, le voir de face.
C'est fébrilement que je me déshabillais à mon tour. J'avais l'impression que chaque bouton de ma chemise résistait et ne voulait pas se décrocher. J'avais l'impression que mon pantalon aussi résistait mais je me retrouvais à poil alors qu'il n'avait fait que quelques enjambées. Je fonçais comme un malade et le rattrapais rapidement, je tournais ma tête vers lui au moment ou je le doublais, il avait l'air amusé. J'avais l'impression que je penchais en arrière car mes jambes bougeaient tellement vite que le reste de mon corps avait du mal à les suivre ! Je plongeais dans l'eau, elle était fraîche mais pas trop. Bon si je veux me suicider ça devrait aller, je le ferais même plusieurs fois si elle n'est pas plus froide que ça !
Je plongeais, ressortais la tête de l'eau et me tournais vers lui. Il était encore plus beau que la grosse à la télé qui cour au ralenti dans cette série américaine sur une plage aux USA avec une bouée de sauveteur
Comme si avec la poitrine qu'elle avait il lui fallait encore plus de flotteur ! Pfff !
Il était beau, j'avais le sourire et je le contemplais. J'admirais ses muscles qui se contractaient lentement, ses bras, ses jambes, sa queue qui se balançait lentement autant que lourdement de gauche à droite. Je me l'imaginais en érection
Je m'imaginais à la place de sa copine. Je m'imaginais dans ses bras, ses bras musclés. Je me voyais entre ses mains, ses mains douces et fortes. Je m'imaginais accroupi devant lui en train de le sucer, j'entendais déjà ses gémissements de plaisir. Je le sentais contre moi dans mon dos et je sentais mon anus se dilater, je sentais sa queue ferme me pénétrer, me défoncer le cul comme un fou ! J'aime bien le romantisme moi !
Je plongeais et nageais quelques brasse en prenant un air détaché, c'est que je savais déjà comment ça allait se terminer cette histoire. D'abord je suis irrésistible dans ma tenue d'aventurier, ensuite je suis craquant tout nu dans le lac à faire trempette et pour finir je
Bon là je ne sais plus quoi dire mais je vais sûrement trouver
Étienne était la devant moi, à quelques mètres du lac, il arrivait, ses mouvements étaient gracieux, élégants, doux, forts, athlétiques
Bon on s'arrête là ou je rajoute encore quelques adjectifs ?
Hein ? Vous devez déjà avoir une idée claire sur le sujet !
Il arrivait enfin à mon niveau, j'avais de l'eau jusqu'à la ceinture, il plongeait, il m'éclaboussait et je me retrouvais tout mouillé
Il passait sa main sur sa poitrine avec douceur, j'en faisais autant. Je passais moi aussi ma main sur sa poitrine, il me caressait la main. Il se penchait ver moi et je goûtais à ses baisers, je le prenais dans mes bras, il me serrait contre lui. Je bandais comme un fou, sa queue se relevait vigoureusement. Je m'accroupissais et sans hésiter la lui suçais. Il appréciait. Il tirait mon visage vers lui et je le tirais vers moi par les cuisses. Il enfonçait sa bite jusqu'au fond de ma gorge et j'en redemandais. Il me limait la bouche, je me branlais en même temps.
Je me relevais un peu plus tard en le couvrant de baisers, j'arrivais à ses lèvres et nous partagions une nouvelle étreinte intense, humide et fraîche, on était encore dans l'eau. On ressortait et on s'allongeait sur notre grande serviette de bains qui était posée là à quelques mètres du lac. Je m'allongeais sur le ventre, il s'allongeait sur le ventre également mais c'était sur mon dos et là moi je sentais enfin en vrai sa queue qui poussait contre mon anus
Évidemment c'est à ce moment là que le réveil matin a sonné !
Je me réveillais furieux, au moment ou on allait conclure
Je vous dis pas mais j'étais un peu ronchon au réveil et ça continuait pendant le petit déjeuner. Surtout que ce matin là c'est moi qui était de corvée avec ma sur pour le préparer. Pas encore complètement réveillé je l'imaginais dans les bras d'Hélène alors que quelques instants plus tôt il était dans mes bras
Je vous dis pas les mecs pas plus fidèles que ça, ça ma gave !
Nadine parlait, parlait, comme toujours
Moi je ronchonnais
Nadine : Il y a un problème, on a reçu un coup de téléphone hier soir
Moi : Ouai !
Nadine :
C'est contrariant mais ça ne change rien pour toi
Moi : Ouai !
Nadine :
Et puis avec Hélène
Moi : Ouai !
Le petit déjeuner était prêt, on entendait Hélène et Étienne qui descendaient. Étienne avait juste sur lui un short, il était torse nue comme la veille dans la piscine. Encore plus beau, le poil en broussaille, le cheveux hirsute mais bon j'oubliais pas qu'il m'avait largué juste à la fin de mon rêve. Ouai
De mon rêve, c'est vrai ! Bon je lui pardonne.
Nadine :
Donc ça change un peu le programme mais comme tu peux voir pas trop ! ...
Moi : Ouai !
Étienne : Salut les jeunes. Alors Benoît ta crise de myxomatose ça va mieux ?
Moi : Allons ne te moque pas de moi, c'est un truc pour les lapins ça. Tout le monde sait ça !
Hélène : Tu lui a expliqué ? ( à l'intention de ma sur )
Nadine : Oui !
Hélène : Et il a dit quoi ?
Nadine : Ouai !
Hélène : Je le trouve éloquent ce matin ! Ça va Benoît ?
Moi : Ouai !
On prenait le petit déjeuner. Tout le monde parlait, moi je ronchonnais encore un long moment. En plus j'avais Étienne devant moi qui exhibait sa beauté sauvage, il était comme dans mon rêve mais simplement encore plus beau car là c'était pour de vrai.
Tout était prêt, les bagages étaient dans la voiture. Mes deux sacs
Pardon MON seul sac à dos
étaient eux aussi dans la voiture, il y avait beaucoup de place et personne ne les remarquerait avant notre arrivée
Désolé un sac je peux pas ! J'étais habillé en tenue d'aventurier, beau et sexy comme un prince
Je faisais la vaisselle pendant que tout le monde allait s'habiller.
Étienne était beau quand il descendait, il avait le même costume que moi. Je le revois quand il embrassait Hélène, pour lui dire au revoir. Je disais au revoir à ma sur puis à Hélène et je montais dans le voiture, à l'avant. Étienne m'y retrouvait peu après il prenait le volant. Il démarrait, on partait.
Je somnolais un bon moment et quand je me réveillais je me retournais ne voyais personne à l'arrière. Il n'y avait qu' Étienne et moi dans la voiture. Je hurlais
Moi : On a oublié les filles !
Étienne sursautait, il ne s'y attendait pas à ça. Il me regardait
Étienne : Je sens que ça va pas être facile !
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